C’est un média Allemand qui a révélé l’affaire hier soir, d’après une étude menée par le laboratoire indépendant « Der Laboratorspikur ».
Selon le responsable du labo, le Docteur Franck EINSTEIN, c’est au cours du traditionnel pot de fin d’année que la découverte a été faite, lorsqu’une laborantine a confondu les étiquettes des verres et des tubes à essais. [NDLR : il s’avère que cette dame confond les "Q" et les "P", par précautions il lui est déjà interdit de toucher aux « pipettes » ]
Toujours est-il que devant le goût inhabituellement bon du breuvage, certains biologistes ont alors décidé d’analyser le produit, et c’est à ce moment qu’ils ont découvert l’erreur…
De nouvelles perspectives pour le beaujolais ?
Martin GALL, responsable de l’innovation des laboratoires Boiron, souhaite maintenant aller plus loin dans les recherches, imaginant d’ors et déjà des débouchés thérapeutiques pour le Beaujolais Nouveau. A condition toutefois de trouver des solutions pour les effets secondaires bien connus de ce vin, à savoir le mal de tête ou, pire encore, l’envie de chanter du Michel Sardou debout sur les tables.
C’est ainsi que d’ici quelques mois nous devrions voir apparaitre le nouveau vaccin Pfizer-Sauternes, prescrit contre les vergetures, tandis que le médicament Sanofi-St Emilions guérira les hémorroïdes, dans son nouveau format en suppositoires surnommé «le Jeroboam ».
Gare à l’auto-médication.
[Proverbe de Cheminots-garagistes]
Les chercheurs de l’institut, Pasteur mais presque, nous alertent toutefois sur les dangers de l’auto-médication, rappelant que tout cela est d’abord une question de tendances et de doses. En d’autres termes, c’est une question de mode et ration.
